écotourisme

  • Sur le versant vert de la Loire avec Val de Loire Ecotourisme !

    Article écrit et publié par Voyageons Autrement. Lien vers l'article: http://www.voyageons-autrement.com/sur-le-versant-vert-de-la-loire-avec-val-ecotourisme


    Dans le Val de Loire il y a des châteaux, certes, la Loire à vélo, of course, mais bien d’autres trésors encore ! Désireux d’aller au-delà des grands sites souvent saturés, de proposer une parenthèse verte centrée sur la nature et le patrimoine oublié, Val de Loire Ecotourisme multiplie les propositions de sorties et d’excursions accompagnées, pour redécouvrir les (quatre) départements du Val de Loire avec des éco-guides compétents qui vous amèneront sur les chemins buissonniers d’un territoire qui a du vert à l’âme.

    Loire

    Les quatre mousquetaires du Val de Loire

    Ils ont fait connaissance courant 2015 sur les bancs de l’Université d’Angers en Licence Pro « Concepteur et accompagnateur en écotourisme ». Par le passé, ils avaient déjà eu plusieurs vies, de nombreuses expériences professionnelles, certains travaillent par ailleurs, et peu à peu, l’idée a germé : créer une association forme de vitrine pour fédérer un réseau de guides indépendants désireux de proposer des prestations vertes, axées sur l’écotourisme, les populations, le patrimoine oublié. A l’heure d’aujourd’hui, Val de Loire Ecotourisme rassemble d’ores et déjà quatre compères, tous guides formés à l’écotourisme, qui se sont répartis le territoire du Val de Loire entre Indre et Loire (Grégoire), Maine et Loire (David), Vendée (Adeline) et Loire-Atlantique (Laure). Grégoire Paquet : « Après la licence pro, j’ai fait un stage au Centre Permanent d’Initiative à l’Environnement de Seuilly où j’ai pu développer des offres écotouristique, l’occasion de réaliser que nous sommes sur un territoire unique au potentiel énorme. Peu à peu, l’idée d’un réseau de guides a mûri dans ma tête… » Aujourd’hui fer de lance de l’association, Grégoire fédère ses compagnons et espère bien faire grandir le réseau.

    Paysage de Loire@G.PaquetFort de statuts clairement définis, Val de Loire Ecotourisme vise donc à concevoir et commercialiser des excursions et des séjours écotouristiques et à proposer un service d’interprétation du patrimoine naturel et culturel principalement centré sur le Val de Loire. Pour l’heure, quatre départements sont couverts, mais à terme, l’association espère bien développer l’écotourisme sur l’ensemble des 14 départements du Val de Loire en fédérant tout un réseau d’acteurs (hébergeurs, restaurateurs, producteurs locaux, fermes pédagogiques, interprètes du patrimoine, institutionnels, etc.). Grégoire Paquet : « Cette année est vraiment importante pour  nous, elle sonne comme une année test pour voir si on trouve notre public. »

    Parce que La Loire ce ne sont pas que les châteaux….

    En Indre-et-Loire par exemple, au-delà de Villandry, d’Azay-le-Rideau, d’Amboise ou de Tours, Grégoire Paquet aime à faire découvrir les anciennes forêts royales, aujourd’hui domaniales gérées par l’ONF. « Alors que même la Loire à vélo commence à souffrir d’un trop plein de touristes sur certains tronçons, dans les forêts, il n’y a personne. » De fait, qui connait la forêt de Chinon, celle de Loches, d’Amboise, de Tours-Preuilly ? Des milliers d’hectares qui ont chacun leur identité, souvent liés au patrimoine culturel et religieux local. La forêt de Loche, par exemple, abrite l’ancienne Chartreuse du Liget, monastère de moines-ermites chartreux fondé en 1178 en Touraine par Henri II Plantagenêt. En forêt de Chinon, on peut pique-niquer à côté d’une ancienne abbaye bénédictine jadis prospère. Grégoire : « Tous ces lieux sont accessibles mais il faut les connaitre. Et si on y va tout seul, on verra certes la beauté du site mais on sera frustré sur son contexte historique. Pourquoi des Chartreux dans la forêt ? Quelle est l’histoire de cette abbaye privée ? Aucune forêt ne ressemble à une autre. Avoir un guide offre des clés de compréhension du contexte naturel mais aussi culturel. Réaliser par exemple que l’on est en fond de vallon parce que les moines avaient besoin d’un point d’eau … » Et puis, il y a aussi une autre façon d’aborder l’histoire, la nature, les plantes, voire les métaux. Ainsi ces différents châteaux qui s’égrènent au fil de l’eau abritaient alors des rois qui se soignaient souvent sans le savoir en dînant dans des couverts en argent, bénéficiant alors des propriétés exceptionnel d’un précieux métal, antibiotique naturel, l’argent colloïdal, que l’on utilise aujourd’hui encore dans certains hôpitaux pour ses propriétés désinfectantes et cicatrisantes. Tout est donc aussi question de regard sur les choses.

    Forêt de Chinon

    Prestations et sorties multiples

    Au fil de la Loire, les prestations proposées par l’association sont donc diverses et complémentaires. Et bien sûr, la Loire n’est pas oubliée, avec des excursions au fil de l’eau pour mieux comprendre la dynamique fluviale, la faune, la flore… A Candes-Saint-Martin, au confluent de la Vienne et de la Loire, impossible de ne pas évoquer la batellerie qui connut là une période florissante.  Grégoire : « Un guide est un média, un interprète de la nature, des fleuves, de la faune et de la flore… ». Et au-delà des sorties nature et des fleuves, Val de Loire Ecotourisme met aussi un point d’honneur à faire découvrir les villages et le patrimoine oublié, à l’image (du village) de Crissay-sur-Manse, village du 15e siècle classé « Plus beau village de France ». Sur le site de l’association, on trouve ainsi des sorties programmées, un agenda classique lié à des thématiques particulières (dernièrement Grégoire a réalisé une sortie « orchidée ») et des prestations sur mesure, construites avec les clients. A vous de jouer !

    ——- ALLER PLUS LOIN ———-

    Pour les indécis, un petit tour sur le site de l’association vous donnera mille et une idée de sorties diverses, avec toutes les informations pratiques et tarifaires associées.

    www.valdeloire-ecotourisme.fr

     |  8 juin 2017 • Mis à jour le 08.06.2017 à 10h12 

    Lien vers l'article: http://www.voyageons-autrement.com/sur-le-versant-vert-de-la-loire-avec-val-ecotourisme 

  • Aujourd’hui, c’est le commencement de l’aventure Hit the Route !

    • Par
    • Le 08/04/2017

    En février dernier, l’équipe VDLE a rencontré Maxime Chevallier qui, avec Cédric Gesrel forme le binôme Hit the Route. Ces deux gaillards n’ont pas froid aux yeux et ont comme idée folle de rejoindre l’Indonésie à vélo avec comme problématique « Quel tourisme pour demain ? ». Nous vous avons présenté le projet dans cet article. Où en sont Maxime et Cédric à quelques heures du départ ? Hit the route velo voyage lent maxime

    VDLE – Cela fait maintenant plus d’un an que vous organisez votre périple à travers l’Eurasie, êtes-vous prêt pour le grand départ samedi ? 

    Max – Ce dernier mois a été chargé pour régler les derniers préparatifs du voyage, il reste encore quelques détails à régler mais globalement, nous sommes prêts ! Cédric est parti en vélo il y a quelques semaines pour rejoindre la Normandie en partant de Nancy. Au fur et à mesure, ça nous donne déjà une idée de ce à quoi on va être confrontés dans les prochains 18 mois (le poids des bagages, l’effort physique…). Rien ne vaut un petit entrainement au préalable pour se rendre compte de l’importance de ces détails. Au final nous sommes bien préparés.  

    VDLE- Avez-vous réuni tout le matériel nécessaire ?  

    Max - Nous avons la douche solaire, le chargeur solaire, la caméra, le reflex et son stabilisateur, PC, tablette, cartes mémoire, micro, vêtements en Gore-tex… On ne peut pas se surcharger donc il a fallu optimiser nos achats et prendre des choses de qualité. Il me reste à voir si tout le matériel rentre dans les deux sacoches du vélo [rires] ! Sachant qu’on ne peut pas dépasser 50kg de matériel par vélo. 

    VDLE – Qu’en est-il de votre budget ? 

    Max- On a réussi à mettre de côté 10 000€ chacun pour financer la totalité du voyage. En plus, nous avons été sponsorisés par la Communauté de Communes Erdre et Gesvres, elle nous a apporté une aide financière (800€). Heureusement, nous avions prévu un budget assez large pour le matériel. On a déjà réalisé quelques économies par rapport au budget prévisionnel. Les vélos nous ont couté 1600€ alors que nous avions prévu 3000€. Il restera à acheter les visas qu’on ne peut pas avoir en avance et de nouveaux pneus sur place, au bout de plusieurs milliers de kilomètres. 

    Sur place, on s’est fixé un budget de 50€/semaine, ce qui comprend la nourriture, le logement et les entrées dans les différents lieux que nous voulons visiter. Grâce au Couchsurfing (NDLR : particuliers qui hébergent des voyageurs gratuitement) et à Warmshowers (sorte de Couchsurfing pour les cyclo-randonneurs), nous ne devrions déjà pas avoir beaucoup de frais de logement jusqu’en Iran. Ces hôtes vont aussi orienter notre voyage. Ils ont peut-être visité des lieux intéressants dans le cadre de notre problématique, ils connaissent leur territoire. C’est vraiment une ressource sur laquelle on va s’appuyer. 

    VDLE – Votre itinéraire va donc se goupiller au fur et à mesure grâce à vos rencontres. 

    Max – Exactement. Au début on voulait prévoir beaucoup de visites. Mais on préfère garder le côté spontané et interactif non seulement avec nos rencontres sur place mais aussi avec la communauté qui nous suit. Par un système de « sondage » Facebook, les internautes pourront voter pour choisir le prochain lieu à visiter dans telle ou telle destination. On verra ce qui les intéresse. On veut cultiver ce lien en favorisant l’échange avec eux ! Les internautes seront les acteurs de notre voyage, et pas seulement spectateurs. Ils sauront nous surprendre.  

    On garde néanmoins en tête le but de notre voyage, c’est pour cela qu’il y aura beaucoup de lieux auxquels on ne pourra échapper. Et même si une entreprise nous contacte pour visiter sa structure, nous serons toujours objectifs. C’est important pour nous de le préciser, sachant que beaucoup de bloggeurs font l’apologie de certaines entreprises car ils bénéficient en retour de certains privilèges… Au final, nous étudierons la politique de gestion des déchets de tous les endroits visités. On veut trouver une solution pour le Mont Rinjani.  

    Le seul petit bémol de notre voyage, c’est le fait de devoir rentrer en avion. A la base nous voulions faire un circuit totalement à vélo mais financièrement, nous ne pouvions assumer 3 ans de voyage. Nous réfléchissons aux moyens de compenser ces émissions de carbone, notamment en reversant une somme à CO2 Solidaire (NDLR : Plateforme de compensation des émissions CO2 gérée par l’ONG GERES). 

    A côté de la création de déchets, le transport aérien est aussi une des problématiques majeures de la pollution liée au tourisme. Il est important pour nous d’en parler notamment en promouvant le tourisme local, le slow tourism et la mobilité douce comme le vélo.  

    VDLE – Vous avez énormément de pays à visiter, n’avez-vous pas peur d’être frustrés ? 

    Max – Un peu. Pour les principales étapes (Italie, Turquie…), nous aimerions rester environ un mois afin de vraiment s’imprégner des lieux. Pour les étapes improvisées, nous ne pourrons pas rester plus de 3 ou 4 jours car nous avons la contrainte du temps et du budget. Début août, il faut qu’on soit en Bulgarie. Cependant on veut vraiment prendre le temps dans les Balkans par exemple. Le Monténégro nous intéresse beaucoup car il devient la nouvelle Croatie et on veut voir comment ils gèrent cette explosion du tourisme. Mis à part quelques impératifs, le programme n’est pas figé, et nous savons que nous devrons nous adapter. En Turquie, du fait d’un climat politique plutôt tendu, nous ne savons pas encore si nous pourrons rester ou si nous devrons traverser le pays en train. Le même problème se pose pour la Chine, où on n’est pas même pas certains d’obtenir des visas au moment venu. Il va y avoir donc beaucoup de surprises mais nous sommes sereins. 

    Au jour J du grand départ de Vigneux de Bretagne (44), l’équipe VDLE tenait à féliciter Maxime et Cédric mais aussi Antoine Eon alias « Toch » (créateur du site internet Hit the Route) et tous les proches du binôme, qui ont participé de près ou de loin aux préparatifs du voyage.  

    Nous vous souhaitons bon courage ! 

    Nous publierons régulièrement des nouvelles des aventuriers. 

    Adeline, guide VDLE / Secteur Vendée 

     

  • J-61 avant le grand départ de Maxime et Cédric ! Retour sur la rencontre avec le co-créateur de Hit The Route.

    • Par
    • Le 06/02/2017

    Hittheroute salon du tourisme

    De gauche à droite : David Boiteau, Maxime Chevallier, Adeline Graiz et Grégoire Paquet.

    Ce 3 février, l’équipe VDLE était au Salon du Tourisme de Nantes, l’occasion de rencontrer les acteurs du tourisme de notre région et d’ailleurs. L’opportunité aussi d’en savoir plus sur une initiative locale plutôt osée, l’aventure Hit the Route ! Nous avons échangé avec Maxime Chevallier, co-créateur du projet.

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    VDLE - Comment est né le projet Hit The Route ?

    Maxime – Issu d’une formation de paysagiste, j’ai eu l’opportunité d’aller en Indonésie pour y faire un stage en 2015. J’ai fait un trek sur le Mont Rinjani à Lombok, à côté de Bali. Ça a été un véritable déclic ! Le tourisme est une activité plutôt nouvelle dans ce coin, la gestion y semble perfectible. La première chose qui m’a frappé, c’est le fait que le paysage soit gâché par les masses de déchets. Par ailleurs, les conditions de travail sont rudes pour les porteurs par exemple, qui peuvent avoir 80kg sur le dos tous les jours. Etre face aux problématiques locales m’a beaucoup fait réfléchir.

    D’un autre côté, j’étais dans l’optique d’une reconversion professionnelle, tout comme mon ami Cédric. L’écotourisme m’intriguait, c’est de là que je me suis fixé un objectif personnel : voyager afin d’en savoir plus sur ce qui se fait en matière de tourisme durable. Le concept est simple : Partir à vélo et faire des étapes dans des structures afin de rencontrer les acteurs locaux (hébergeurs, collectivités…). Nous partirons de Vigneux-de-Bretagne (Loire-Atlantique) pour arriver au Mont Rinjani en Indonésie, pour une durée totale d’un an et demi.

    VDLE – Cédric et toi avez prévu de traverser 24 pays, pour un voyage total de 20 000km ! En vélo, c’est une sacrée aventure !

    Maxime – Nous avons choisi de faire une itinérance en vélo, non seulement pour des questions écologiques mais aussi économiques. On va vraiment se confronter à la nature. Il faut savoir que je suis très sportif mais pas cycliste. J’ai commencé par me renseigner en lisant les aventures de personnes ayant déjà fait ce type d’itinérance à vélo, ça m’a rassuré [rires] !

    Nous avons tout de même inclus des parties en train et en bateau. En décembre 2017, nous devrions arriver au Kirghizstan. On s’est dit que par -15°C, en vélo, ça allait être compliqué ! Dès l’arrivée en Iran, nous savons que les conditions seront plus difficiles. Cédric a des contacts en Iran, ce qui nous évitera de dormir en tente.

    VDLE – On imagine qu’il y a une logistique solide derrière. Comment avez-vous organisé l’itinéraire ?

    Maxime – Nous l’avons établi en fonction des parcs nationaux qui nous intéressaient, en fonction de la route, et en fonction de nos envies respectives.

    Au début nous voulions prévoir de nombreuses étapes à l’avance. Et puis j’ai discuté avec Florian Goffin, un belge qui est parti 5 ans, à la découverte des initiatives éco-responsables dans la société en général. Il m’a conseillé de ne pas avoir un programme trop chargé, afin d’être plus disponible aux différentes rencontres que nous serions amené à faire. Nous avons décidé de prévoir seulement quelques étapes : le Parc de la Vanoise (France), Capannori (Italie), des hôtels « écologiques » à Fethiye (Turquie) et le Parc Khao Sok (Thaïlande). C’est important de laisser place à l’improvisation afin de ne pas se fermer des portes.

    VDLE – Comment financez-vous le projet ?

    Maxime - Cédric et moi avons travaillé depuis un an et demi pour mettre de l’argent de côté. Le budget du voyage est estimé à 20 000 euros pour deux, en comptant les vélos, le matériel pour filmer, les visas, assurances, la nourriture ... Nous avons prévu une marge de manœuvre s’il nous arrive des problèmes techniques. Nous espérons aussi obtenir des sponsors notamment pour le matériel.

    VDLE – Au-delà de l’enrichissement personnel, quels sont les objectifs du projet ?

    Maxime – Nous souhaitons créer un réseau et recueillir des informations sur les alternatives pour un tourisme plus viable, vis-à-vis de l’environnement mais aussi des populations locales. On entend beaucoup parler de l’écotourisme, de tourisme durable, de tourisme solidaire, de tourisme d’avenir… sans vraiment savoir de quoi il s’agit. Nous voulons comprendre sa mise en place concrète, au-delà des valeurs éthiques et éco-responsables qui sont affichées en premier plan.

    Tout le long du voyage, nous allons alimenter un dossier numérique qui référencera toutes ces initiatives. L’objectif à terme est de présenter aux acteurs (collectivités, guides, porteurs…) du Parc National Gunung Rinjani des solutions de gestion des flux touristiques.

    VDLE – Comment allez-vous faire pour justement sensibiliser les locaux, sachant que la priorité reste probablement le développement économique, et non la préservation de l’environnement ?

    Maxime – Il y a toujours le risque qu’on se « casse les dents », mais je suis en contact avec Deni, un guide local qui est réceptif à notre démarche. Il va falloir convaincre le reste des acteurs du tourisme du parc indonésien. Ils sont déjà conscients que les visiteurs sont marqués par les déchets dans le parc, ce problème menace leur activité. Le changement se fera si nous arrivons à sensibiliser les locaux (touristes et professionnels du tourisme). Je pense que le développement du tourisme est intimement lié à une bonne politique de gestion des déchets. Maintenant, il faudra forcément développer des arguments « économiques » et proposer des solutions simples à mettre en place, et à faible coût bien sûr.

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    Le départ est prévu le 8 avril 2017 !

    Maxime et Cédric seront nos yeux et nos oreilles pour connaitre les initiatives écotouristiques au-delà de nos frontières. Suivez leur aventure sur la page Facebook Val de Loire Ecotourisme. Nous publierons régulièrement de leurs nouvelles !

    Plus d’informations sur www.hittheroute.net et sur la page Facebook dédié au projet.

    Adeline, guide VDLE